–
Retour en Bohême…
Prague est une ville unique: avec ses façades pastels, ses vieilles pierres, ses ornements baroques et ses vestiges de l’Art Nouveau, on a l’étrange impression que rien n’a changé depuis des siècles, l’héritage culturel est intact. Un lieu envoûtant, emprunt d’Histoire, un patrimoine parfaitement conservé, une architecture à vous couper le souffle.
Quand on déambule à travers Prague, on se sent comme happé par cet esprit romantique qui vous perd à travers ses ruelles pavées et vous transporte au-dessus de la Vtlava, comme des libellules prises dans un tourbillon.
Prêt pour une petite balade?
Avant de partir pour une journée de marche, remplissons-nous l’estomac! A l’hôtel nous avions droit à un buffet à volonté chaque matin. A propos, il est bon de savoir qu’en République Tchèque, les hôteliers s’attribuent le nombre d’étoiles qu’ils veulent…On était dans un « 4 étoiles » qui s’est avéré être un hôtel lambda, tout sauf chic! Mais on a fermé les yeux, vu que le voyage nous a coûté trois francs six sous !
Donc au menu il y avait de quoi contenter les becs salés et les becs sucrés, bien sûr je me suis ruée sur la charcuterie, le fromage et les crudités, avec plusieurs sortes de pain. De quoi tenir jusqu’à midi au moins!
Prague se divise en 6 gros quartiers, dont 5 autour du centre historique:
–Hràdcany: Quartier du Château (Hràd=château)
–Malà Strana: « Petit Quartier »
–Staré Mesto: Vieille Ville
–Nove Mesto: Nouvelle Ville
–Josefov: Quartier Juif
–Vinohrady: Vignoble (en-dehors du centre)
Le premier jour, nous avons commencé par un lieu incontournable, la place de la Vieille Ville (Staré Mesto). Nous y sommes arrivés peu avant midi, au pied de l’horloge astronomique de l’Hôtel de ville. Lorsque les deux aiguilles s’unirent sous le 12, un squelette articulé se mit à sonner la cloche douze fois et des mannequins représentants des saints défilèrent devant une fenêtre. Et à la fin du « spectacle », un ménestrel entonna un air à la trompette au sommet de la tour. Même pour donner l’heure, les praguois en font toute une célébration !
A midi nous préférons ignorer les hot-dogs de la place Venceslas pour nous arrêter dans une gargote de poche, loin des restos à touristes: le café bar Archa.
Le menu « Goulasch » est à 125 Kc, soit 5 euros! J’ai droit à une soupe de légumes, une assiette de goulasch (avec du pain vapeur qu’ils appellent « dumplings », rien à voir avec les ravioli chinois!) et un strudel aux pommes. Fab, l’ami qui m’accompagnait, avait opté pour un poulet à la poire et au fromage bleu. La nourriture est très bonne, les portions très généreuses mais je déplore juste l’absence de légumes. Je découvrirais par la suite qu’il n’y a JAMAIS de légumes en accompagnement, mieux vaut aimer les pommes de terre et le pain en République Tchèque! Ah oui, et au resto on ne sert pas de pichet d’eau, il faut acheter de l’eau minérale. A savoir: la bière sera toujours moins chère que l’eau!
Café bar ARCHA: Praha 1, Naprstkova / 110 000 PRAGUE
Lorsque vous vous promenez à travers Prague, levez toujours la tête. L’architecture s’apprécie autant qu’une belle toile, ralentissez la cadence et prenez le temps d’observer la moindre oeuvre d’art qui se dissimule à chaque recoin: une tête sculptée, un cheval à l’envers*, la statue de Freud suspendue à une poutre, la prestance d’Antonin Dvorak face au Rudolfinum**, un cerf immaculé au-dessus d’un restaurant…Il y a toujours un trésor à découvrir !
*sculpture surréaliste de l’artiste praguois David Cerny, visible dans le passage de la galerie Lucerna (près de la place Venceslas).
**salle de l’Orchestre Philharmonique Tchèque, sur la rive droite à l’entrée de Josefov (cité juive).
Pour vous déplacer, rien de plus simple: les tickets de transport sont valables 1H pour le bus, le métro, le tram…et même le funiculaire ! Si vous les achetez dans une station de métro, ça vous coûtera moins cher (26 Kch=1€ environ) que si vous le prenez dans un bus (40 Kch). Le plan du métro est ultra simple: seulement 3 lignes qui se croisent au centre-ville, pas moyen de vous perdre! Il n’y a pas de tourniquet au niveau des bornes, donc il est très tentant de passer sans composter…mais gare aux contrôles surprises dans les couloirs! Et je vous préviens, les escalators sont très, trèèès vertigineux!
Sachez juste que Prague n’est pas une très grande ville, donc la visite peut se faire à pieds sans problème. Mesdames, privilégiez les talons plats, combien de fois ai-je croisé des bimbos trébucher sur les pavés ou sur les escaliers menant au Château (bien fait!hihi!)…
L’après-midi, la pluie tombant de plus en plus, nous décidons d’écourter notre balade devant un bon chocolat frappé et de faire des courses pour pique-niquer le soir dans notre chambre d’hôtel.
Je vous recommande vivement le Kava Kava Kava (facile à retenir hein!) qui m’a un peu fait penser au Central Perk (sans Gunther heureusement), par son ambiance relax et la jolie carte de boissons servies chaudes ou glacées (mince je viens de voir sur leur menu que j’ai raté leur « gingerbread latté » !). On a craqué pour un mocha-latte et un « after-eight frappé ». Et puis une petite gaufre pour nous consoler de la pluie… Les serveuses sont très cools et parlent anglais couramment. Le café propose aussi des pâtisseries, des choses salées à grignoter (bagels, nachos au fromage, bruschetta…) et ils ont le wifi.
KAVA KAVA KAVA: Prague 5, Lidicka 42 / 150 000 PRAGUE.
Josefov, la cité juive. Ce quartier, situé au nord de la Vieille Ville, fut l’ancien ghetto juif de Prague, où ceux qui ne s’étaient pas convertis au christianisme trouvèrent refuge. Beaucoup de monuments grandioses sont encore intacts et représentent avec solennité la communauté juive, comme la Synagogue Maisel (en bas à gauche de la photo) ou l’Hôtel de ville. Sur certaines façades on peut admirer des profils en ombre chinoise ainsi que des peintures représentant des symboles de la richesse.
A ne pas rater: la maison cubiste à la Vierge Noire, le restaurant de la Vieille Synagogue (hélas en travaux quand nous y sommes passés) et l’Horloge juive avec les chiffres en hébreu et ses aiguilles qui tournent à l’envers. Vous pouvez aussi visiter le vieux cimetière, que l’on n’a pas fait par manque de temps (et parce que j’aime pas les cimetières). Si vous êtes curieux, vous pourrez toujours partir à la recherche de la tombe du Rabbi Loew, qui aurait crée le Golem …
Pour la pause déjeuner j’avais repéré dans le quartier l’ardoise du restaurant Sedm Konselù, qui proposait des plats traditionnels à des prix imbattables.
La salle est en contre-bas et peu éclairée, c’est pourquoi nous nous attablons près d’une grande fenêtre. Le serveur, très sympa, parle un anglais parfait. Je choisis une assiette du « vieux bohémien » et Fab reprend encore un poulet à la poire et au fromage bleu. Rhôôô il est d’une monotonie! N’empêche qu’il a toujours eu droit à des légumes en accompagnement, lui… Dans mon assiette, du porc, du porc, et encore du porc: saucisse, palette fumée et côtelette, avec de la choucroute et des dumplings. C’était tellement bon que j’ai tout englouti comme un bulldozer. Même la feuille de salade y est passé, c’était mon quota de légume du jour ^^ (j’en ai eu pour environ 6 €, boisson comprise).
Attention, ils ne prennent pas la carte, mais ils acceptent les euros si vous n’avez pas de couronnes.
Restaurant SEDM KONSELU : Praha 1, Zateckà 10 / 110 000 PRAGUE.
Lorsque vous sortez du quartier juif en direction de la Vltava (la rivière qui divise Prague en deux), passez devant le Rudolfinum et traversez le « Pont Tchèque » ou Cechuv Most. Juste en face, sur la rive gauche, vous ne pourrez pas ignorer le gigantesque métronome rouge qui se dresse vers le ciel, en se penchant de gauche à droite. Il est installé depuis 1991 sur un socle tout aussi imposant, qui a servi de base à une statue monumentale à l’effigie de Staline, détruite dans les années 60.
Pour l’admirer de plus près il faut monter quelques (non,beaucoup en fait) escaliers en pierre cachés entre les arbres et les buissons verdoyants. On peut s’asseoir au pied du métronome (c’est vraiment, mais alors vraiment impressionnant), depuis lequel vous aurez une vue imprenable sur la ville.
Ensuite, au lieu de redescendre, continuez votre chemin sur la gauche du Métronome, vous accéderez à de grands espaces verts, très agréables et rafraîchissants quand il fait un cagnard pas possible et que vos pieds commencent à bronzer à travers les lanières de vos sandales!
Toujours en longeant la rivière depuis les hauteurs de la colline, vous pourez vous arrêter boire un verre à la terrasse du splendide Pavillon Hanavsky ou tout simplement faire une sieste sur les balancelles en bois du parc. Plus loin, vous verrez les jardins du Palais Royal, au milieu desquels trône une fontaine avec des chérubins qui pourraient faire de l’ombre au Manneken-Pis. C’est vraiment un endroit paisible, on a envie de s’allonger sous les arbres et se détendre une ou deux heures…
Plus bas vous pourrez visiter l’Orangerie, mais il faisait déjà 30°C et il était hors de question de rentrer dans une serre avec cette température! Je me suis contentée d’admirer les plants de ginkgo biloba le long du chemin !
En remontant les pavés nous parvenons au Château (Hràd) en franchissant des grilles en fer forgé en forme de volutes. Les touristes se mitraillent au flash aux côtés des gardes qui restent droits comme des piquets quelle que soit la situation (non,on ne l’a pas fait…c’est pour les beauf ça!). Après avoir longé la Cathédrale Saint-Guy (là où les rois se faisaient couronner), un couvent et un monastère, nous assistons ébahis comme des gamins à la relève de la garde, semblable à un ballet d’automates.
L’après-midi nous faisons une halte chez « Coffee Lovers » pour se rafraîchir. L’accueil y est inexistant, aucun sourire, les serveuses nous disent à peine bonjour. Lorsque je demande un chocolat glacé (ce qui a l’air de les déranger au plus haut point), voilà ce qu’on me sert:
Une tasse de chocolat chaud avec trois glaçons. On préfère fuir cet endroit au plus vite, en se gardant bien de leur laisser un pourboire!
Ensuite, nous décidons d’aller prendre un cheesecake dans un autre café de la même rue. Mais là, pas de chance, c’était vraiment pas terrible! Trop sec, croûte même pas sucrée, glaçage à la mangue qui a du être coulé il y a des siècles. Pas de chance, ce jour-là! J’ai laissé les 2/3 dans l’assiette, dommage.
Après avoir bien marché on rentre se reposer à l’hôtel et on ressort en début de soirée pour visiter la presqu’île de Kampa. Situé sur la rive gauche, cet endroit un peu reclus est propice aux balades romantiques au bord de la rivière. Visite express du musée Kampa, autour duquel on peut jouer avec les bébés géants de David Cerny, qui est aussi l’auteur du cheval renversé (voir plus haut). La nuit commence à tomber, c’est l’heure idéale pour visiter le Pont Charles (Karlùv Most), pour éviter les 50 touristes au centimètre carré en journée.
Le soir nous mangeons dans une brasserie dont j’ai oublié le nom, dans le même quartier que le café Archa. La déco des salles est assez lugubre, avec des bas-reliefs en bois sur tous les murs, et des lustres en fer forgé avec des ampoules nues. Sur celui au-dessus de nos têtes il n’y avait qu’une ampoule sur 12 qui fonctionnait…
Je prends une spécialité tchèque qui va vous faire froncer les sourcils à coup sûr: le « Svičkova ». Il s’agit d’un rôti de boeuf servi avec une sauce épicée et crémée, surmontée de crème chantilly sucrée et de confiture d’airelles. Ca peut paraître bizarre pour certains mais c’était délicieux! J’ai tout épongé avec mes tranches de pain! Avec ça j’ai pris des galettes de pommes de terre râpées (très bonnes aussi), et Fab a pris du poulet frit et des pommes de terre au four avec une sauce au fromage. Une bonne adresse, dommage que j’ai oublié le nom!
Le lendemain nous visitons la colline de Petrin, dans le prolongement du quartier du Château. Si vous n’avez pas le courage de la gravir à pieds, je vous conseille de venir assez tôt pour éviter la file d’attente au funiculaire. Prévoyez aussi un ticket de transport pour aller plus vite, sinon il y a un distributeur à l’entrée. Avant de monter vous passerez devant un mémorial en hommage aux victimes du communisme dont les statues semblent descendre un escalier surgi de nulle part.
Le funiculaire s’arrête à mi-hauteur pour ceux qui veulent s’arrêter manger en terrasse (et moi comme un boulet je suis descendue en pensant être déjà arrivée…heureusement que le funiculaire n’a pas redémarré tout de suite -_-‘). En 2 minutes nous arrivons au sommet, au milieu de romantiques roseraies et de vergers flamboyants. Un peu plus loin se trouve une réplique de la Tour Eiffel qui sert d’observatoire.
En redescendant nous passons par le quartier des ambassades, où vous ne manquerez pas le « mur John Lennon » (face à l’ambassade de France). A la mort du chanteur, les étudiants de Prague ont recouvert ce mur de messages pacifistes, avant d’être effacés par les communistes. Les étudiants sont revenus à la charge, les graffitis ont refait surface puis ont été effacés une seconde fois. Finalement à la fin du communisme les étudiants sont revenus et leurs dessins et leurs écritures sont restés pour de bon. Aujourd’hui tous les touristes viennent y apposer leur gribouillage sur ce mur de la paix (comme moi huhu).
A midi nous testons une pizzeria où j’ai pris une drôle de salade César. Voyez un peu: pas de poulet grillé mais des lardons frits et tout suintants, avec des croûtons énormes et durs comme de la pierre! Quant à la vinaigrette, ben c’était à moi de la faire, avec une bouteille d’huile et une bouteille de vinaigre qui étaient sur la table. PFFF la misère! Quant à Fab, vous ne devinerez jamais ce qu’il a pris: des sushi au saumon… Arff je n’avais pas envie de le contrarier, il avait déjà mal au crâne, mais bon…des sushi dans une pizzeria en République Tchèque…Y a pas photo, c’était infect, le poisson était arrivé encore givré dans l’assiette.
Nous nous sommes consolés avec de superbes pâtisseries en bas de la colline de Petrin, chez U Knoflicku . Il s’agit d’un charmant petit salon de thé, où on peut aussi commander des gâteaux d’anniversaire ou de mariage. Les deux petites dames qui vous accueillent sont vraiment adorables, à l’image des lieux. J’ai pris un gâteau au chocolat qui avait l’air assez classique, mais il était extraordinaire: une base de biscuit aérien, une couche de crème fondante et une mousse chocolatée assez dense. Et croyez-le ou pas, la crème au milieu avait un petit goût de cèpes! Vraiment étonnant et trop bon, à s’en lécher les doigts. Fab avait pris une tarte aux fruits, très bonne aussi, et on a pris tous les deux un chocolat frappé bien glacé (une vraie institution à Prague!), un peu moins bon que chez Kava Kava Kava.
Salon de thé U KNOFLICKU : Praha 1, Mala Strana / 110 000 PRAGUE.
Le dernier jour, nous avons passé la matinée à faire du shopping, car il ne nous restait plus beaucoup de temps et qu’on voulait profiter des soldes d’été! Encore une fois nous avons été HYPER déçus par le repas du midi, dans un restaurant italien cité dans le Guide du Routard. Non mais regardez mon risotto: quel foutage de gueule! Du riz long, sec, trop salé, sans sauce: c’est tout sauf du risotto !!! Déjà, j’aurais du me méfier lorsque j’ai vu le serveur sur le pas de la porte qui guettait les clients, ça sentait l’arnaque à 10 km à la ronde! Je le savais, je le savais !!! Mais on avait tellement faim…
Heureusement pour nous, un peu plus loin dans la même rue, on a trouvé du réconfort dans une petite boulangerie salutaire. On y trouve de tout: pains, pâtisseries, yaourt artisanal, glaces mais aussi épicerie fine (fromages et vins, de France notamment). Je me dis que si on avait marché un peu plus au lieu d’écouter nos estomacs, j’aurais pu me régaler d’un bon sandwich croustillant avec de la charcuterie locale, au lieu de cet infâme risotto.
D’après mes recherches, sur la façade il est écrit: « épicerie, fromage, pâtisserie, boulangerie ».
J’ai pris une spécialité tchèque, le « medovnik »: un gâteau à 10 étages, avec des couches de biscuit au miel, de la crème et de la poudre de noisette. A première vue ça a l’air sec mais détrompez-vous: c’était terriblement fondant, ça m’a laissé un souvenir tellement gourmand qu’une fois rentrée chez moi, je me suis empressée de fouiner la recette et de refaire ce gâteau. Mais ça je vous en parlerais plus tard… Quant à Fab, il a pris un rouleau croustillant à la crème, c’était bon mais pas folichon.
Malheureusement j’ai oublié le nom de cette boulangerie, je me rappelle juste qu’elle est située au bout de la rue Jindrisska (PRAHA 1), près de la tour qui porte le même nom.
Avant de partir nous faisons un dernier petit tour sur la Place Venceslas puis un aller-retour express au centre-commercial « Palladium » d’où nous repartirons bredouille.
Mais avant de rentrer à l’hôtel et de plier bagage, je ne peux m’empêcher de faire ma curieuse devant les jambons à la broche! Ah la street food, j’adore ça ! Il était 16H, mais vous savez que j’ai un estomac à toute épreuve ^^ Et hop, une petite tranche de jambon fumé avec de la moutarde douce, une belle façon de dire au revoir à Prague…
Oh et puis aussi un dernier petit café frappé chez Kava Kava Kava…Ben quoi? Il était sur notre chemin !
Moi qui aimerais justement aller à Pragues,tu me donnes encore plus envie!
C’est bon, tu es prête pour le Routard ! J’ai bien rigolé en lisant ton billet, nous avons beaucoup de points communs je trouve, en particulier pour la contrariété d’avoir mangé un truc mauvais au resto alors qu’on sentait que ça allait être mauvais justement, l’attraction pour toutes les échoppes alimentaires et le talent pour toujours choisir le truc où il n y a jamais de légumes (surtout dans les pays de l’Est, c’est un peu leur spécialité la viande à la viande). C’est marrant. Sinon, en Croatie, c’est « Dobor Dan »!
une belle ballade!
Et toujours pas de massa de malagueta ? ;-D
Beau billet, quel boulot !
Merci pour la balade et les bonnes (et moins bonnes…) adresses!.. On ne sait jamais ça peut servir un jour!
Tu vas te rattraper en légumes maintenant j’imagine!
en Polonais on dit « dzień dobry » et il y a aussi peu de légumes (si du chou…) j’ai été plusieurs fois à Prague, j’adore cette ville..merci de m’y faire retourner le temps d’un article
Mais mais mais la choucroute c’est du choux donc du légume
A lire le tchèque, je pense que mes notions de croate me serviraient là bas : Dobar dan ! Concernant les légumes, AMA mais je peux me tromper, les tchèques doivent sûrement demander une petite salade d’accompagnement au resto, comme ça se fait dans pas mal de pays de l’Est.
Pour les restos « Routard » ça ne m’étonne pas, ça fait belle lurette que je ne leur fait plus confiance pour bien manger !
j’avais déjà envie d’y aller, tu m’as convaincue !!
c’est sublime !!!
Rhooo mais tu me donnes envie d’y aller, c’est terrible! Je m note les adresses si jamais on y va!
Beau voyage
Un article comme je les aime : complet, précis, magnifiquement illustré. La lecture est déjà un voyage et une régalade. J’ai hâte maintenant d’aller sur place. Merci
Merci pour ces jolies photos! Ca m’a donné envie d’y retourner… J’aime beaucoup cette ville Les « dumpling » ne sont pas des pains vapeurs mais des knedliky, un mélange à base de farine et pain ou de farine et pommes de terre, cuits à l’eau sous forme de quenelles. Miam le Svičkova! Mais perso, on me l’avait servi sans chantilly et confiture.
@Marie: merci,je suis contente que ça donne envie aux autres d’y aller!
@Aurelvelvet: rhô là là je me suis surpassée Oui je suis sûre aussi qu’on s’entendrait bien ensemble en vacances!
@Nadiphi: merci!
@Patrick: Non pas une seule goutte de piment à Prague @Babeth59: oui je me suis bien rattrapée avec les légumes de l’été!
@Madame Chocolat: oui certains mots se ressemblent beaucoup! Ravie de t’avoir fait remonter de bons souvenirs de voyage!
@Shana: oui c’est vrai, mais j’aurais aimé des légumes frais @La cocinera loca: Oui je pense que tu ne serais pas perdue!De toutes façons on s’est bien débrouillé avec notre anglais Oui en fait il faut payer en plus pour avoir des légumes en accompagnement!
@Caroline: très bon choix! @Poucinette: n’est-ce pas? @Elo: Héhé le kava kava kava fut notre endroit préféré! Fab est d’une incroyable monotonie qd il veut, mais il est sympa qd même @Marie-Claire: merci, ça fait plaisir de savoir que mon article vous donne envie d’y aller!
@Yasmine: Oups, merci pour les précisions!
Hé bien, tu nous a fait attendre mais c’est magnifique. Merci de nous faire partager ce beau séjour.
Et ça me rassure de voir que je ne suis pas la seule à me gourer dans le choix des restos à l’étranger !
Superbe ce reportage! Ca me donne des idées pour un prochain WE. En revanche on dirait que j’ai intérêt à faire une cure de fruits et légumes avant, ça n’a pas l’air bien léger!
Vous en avez fait des choses!!
Il a tellement de choses à voir dans cette ville et tu m’as vraiment donné envie d’y retourner.
Quant à la gastronomie tchèque et baaah, c’est généralement bon, crémeux, un peu lourd et très gourmand!
Ravie que cela t’aies autant plu! (J’espère simplement que le restaurant italien que tu n’as guère aimé n’était pas le même que le mien!)
C’est étrange comme on est content quand les gens aiment la même chose que nous, non?
on dirait bien que tu t’es régalée, les photos sont magnifiques
Je pars dans un mois environ là-bas, j’avais mis de côté ton article et je le reconsulte pour préparer notre petit programme ! merci !
Pour ma part, j’y étais avec deux amies pour le passage à l’an 2000…. parties sur un coup de tête le 31 : « allez, on passe nouvel an à Prague ! », sans aucune réservation bien évidemment… La croix et la bannière pour trouver une chambre, on est passé d’un hôtel super chic en plein centre (une nuit aura suffit à plomber notre budget, mais pas moyen de trouver autre chose) à une espèce de pension d’état pour les nuits suivantes (l’oeilleton de la porte permettant non pas de regarder à l’extérieur mais à l’intérieur de la chambre nous aura fait nous poser quelques questions..). Mais l’aventure nous a laissé de magnifiques souvenirs et les photos de l’article font remonter des odeurs et des sensations.. Merci de m’avoir fait voyager dans mes souvenirs de cette belle ville