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Les banh cuon font partie des innombrables madeleines de Proust qui ont nourri mon enfance. Ma mère en achetait souvent dans les épiceries vietnamiennes, où elle connaissait toujours du monde. C’était un de mes péchés mignons, autant les sucettes fluo qui traînaient sur le comptoir du magasin me débectaient, autant les