Je ne sais pas ce qui m’arrive en ce moment, je n’arrête pas de cuisiner trop salé. Ma grand-mère, qui était superstitieuse, m’aurait sans doute dit que c’est « parce que t’es sûrement amoureuse, ma tite-fille »! Hé hé, bien sûr que je suis amoureuse Mamie, et
Après mon pâté de tête qui a sans doute paru un peu gore aux yeux de certains, opérons un virage à 180°C aujourd’hui avec cette recette végétarienne. J’avais acheté un paquet de tofu ferme sans savoir comment l’apprêter (ce n’est pas
Pour célébrer le premier jour de l’année du cheval, j’ai eu envie de vous proposer une variété de dim-sum. Contrairement aux ravioli qui symbolisent la prospérité, ces rouleaux cuits à la vapeur ne font pas partie des traditions culinaires du nouvel an chinois. Mais
Au marché du dimanche, il y a un endroit où se concentrent mes producteurs de légumes préférés, coincés entre un food-truck africain, un marchand de matelas et un étal d’huîtres normandes. L’autre jour mon oeil fut attiré par les couleurs psychédéliques de ces pousses de blettes et de betterave. Je
Et si on commençait la semaine en toute simplicité? Eh oui il m’arrive aussi d’opter pour la facilité, n’allez pas croire que je prépare des brioches tous les jours ou que je passe des heures à cuisiner des plats un peu compliqués. Oui je sais, je vous déçois. Mais quand
J’aime bien les recettes de cuisine qui racontent une histoire. C’est d’ailleurs comme ça que mon blog est né, pour perpétuer la mémoire de ma grand-mère, une reine des fourneaux qui aimait cueillir des piments oiseaux dans le jardin. C’est tellement important pour moi
Et si on commençait l’année tout en douceur avec ce merveilleux labneh blanc immaculé? C’est une recette que j’ai prise dans mon nouveau livre de chevet, reçu à Noël: Jerusalem de Yotam Ottolenghi et Sami Tamimi. Ce n’est pas qu’un simple ouvrage de cuisine, il s’agit d’un véritable voyage culinaire au
Je le savais. Je l’ai vu arriver gros comme une maison. J’étais en forme pendant toute la semaine, je traînais en pyjama travaillais tranquillement à la maison, bien au chaud avec mon thermos de thé brûlant et mes chaussettes épaisses. Pétrir des petits pains, enfourner des biscuits, préparer de la soupe
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Lorsque je vais au restaurant indien, le moment que j’attends avec impatience, c’est lorsque le serveur apporte les cheese naans tout chauds. J’adore lorsqu’ils sont bien dorés et gonflés comme des montgolfières, prêts à s’envoler jusqu’à mon assiette. Je me brûle les doigts, j’en déchire un morceau, je le trempe dans
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Les spaghetti, c’est un peu ma roue de secours quand je n’ai pas envie de cuisiner. Parce qu’en ce moment, voyez-vous, je suis un peu amorphe. Après avoir quitté ma famille, après 21 heures de vol, après avoir porté ma valise dans les escaliers du métro, après avoir affronté